Au bureau, mes collègues me préparent un petit shower de bébé: décorations, cadeaux, desserts, etc.
Pendant la fête, je reçois un appel de ma blonde: “je crois que ça y est mon amour! Viens à la maison, notre fille risque d’arriver bientôt.”
Elle avait raison, quelques heures plus tard, notre bébé est né. Un bel accouchement naturel, et ce, dans le confort de notre maison. Je suis très fier de ma blonde et de ma fille. Je suis maintenant un heureux papa de quatre beaux enfants.
Quelques semaines de congé parental commencent pour moi. Nous sommes en février 2020, bébé est en bonne santé, tout le monde est heureux, la vie est belle.
Corona et papier de toilette
Pendant mon congé, on apprend qu’un nouveau virus fait son apparition au Canada. Le sujet fait couler beaucoup d’encre. Les journalistes de nos médias traditionnels ont maintenant le “hook” de la décennie: “un virus mortel envahit le monde et se propage à la vitesse de l’éclair!”.
“Let’s make it rain” $$$
Ça me rappelle la panique du H1N1 de 2009.
Mon congé parental se termine et tous les employés sont en télétravail. Ça tombe bien, j’adore le télétravail!
Ce qui fait bizarre par contre, c’est qu’en dehors de la maison et du travail, le monde semble avoir arrêté de tourner.
Selon ma télé, le système de santé est sur le point de s’écrouler. On continue de semer la panique dans les médias. Tout le monde en parle.
Crédit pour tous
Nos gouvernements forcent la fermeture des commerces. Plusieurs perdent leurs emplois, certains, n’étant plus capables de rejoindre les deux bouts, ferment les portes de leur commerce. Nos gouvernements décident donc d’imprimer des chèques et d’augmenter la dette à la vitesse de l’éclair. Restez à la maison, on s’occupe de vous. Beaucoup de Canadiens reçoivent un crédit dû aux congés forcés et aux pertes d’emplois.
De mon côté, je me compte chanceux, j’ai toujours mon emploi. Au travail, nous sommes appelés à développer de nouveaux systèmes de détection de fraude pour tous ces nouveaux crédits. Je suis un joueur clé dans le développement de ces nouveaux outils. Projets intéressants, temps supplémentaire, je donne mon 110%.
Santé
Les gyms sont fermés. Pour la première fois en vingt ans, je laisse tomber mon abonnement de gym, mais je “double down” sur mon activité physique et ma santé à partir de la maison. Pas question de mettre ma santé de côté. Un nouveau tapis roulant, des marches à l’extérieur, consommation de contenu éducatif sur les saines habitudes alimentaires, changement de diète, changements de style de vie, etc.
Inoculation
C’est le grand départ de la course aux vaccins. L’indice de la peur est à son plus haut. Les gouvernements et les médias encouragent les gens à se faire vacciner dès que possible. “N’attendez plus! Faites-vous vacciner! C’est urgent!”
C’est à ce moment-là que je commence à me poser de sérieuses questions. Nouveau virus, nouvelle technologie de vaccins. Tout semble être en mode accéléré, voire exagéré.
Plusieurs personnes qui m’entourent semblent très angoissées par toutes ces nouvelles. Certains me disent qu’ils sont convaincus qu’ils ne survivraient pas s’ils attrapaient ce virus. J’ai de la difficulté à comprendre ce niveau de peur, mais je me dis que c’est probablement peut-être parce que je porte très peu d’attention à ce qui est dit dans les médias traditionnels.
Je ne serai certainement pas le premier à me faire vacciner. Je vais laisser les autres y aller d’abord et on réévaluera la situation dans quelques mois. Si on nous propose une deuxième dose du vaccin, eh bien là, je n’embarque pas.
Le niveau de panique est tellement élevé chez certains qu’on me traite d’idiot pour ne pas avoir été chercher mon vaccin. On me reproche même de ne pas m’être levé la nuit pour prendre mon rendez-vous dès que mon groupe d’âge était éligible pour le vaccin.
Les réactions et les propos des gens m’étonnent de plus en plus, mais je me rassure en me disant que tout le monde est différent. On a tous le droit à notre opinion. Ce qui m’énerve un peu, c’est de me faire pousser dans le dos tout en projetant ses peurs sur moi.
Je n’ai absolument rien contre les gens qui choisissent de se faire vacciner. D’une certaine façon, je les comprends avec toutes ces nouvelles angoissantes. Personne ne veut attraper ce foutu virus. Toutefois, de mon côté, je préfère attendre, voir comment ça va se passer avec la vaccination de masse.
Dans les médias, on commence déjà à parler de deux doses. Évidemment, ça me fait sourire. C’est évident, le terrain se prépare. J’ai l’impression que cette histoire va se terminer avec un abonnement chez big pharma. Tsé, comme le vaccin annuel contre la grippe.
Le temps passe et la division entre les différentes écoles de pensée commence à être progressivement évidente. Il devient de plus en plus difficile d’avoir des discussions à propos du virus et des vaccins avec d’autres personnes.
Le message est universel, à sens unique et renforcé partout au travers des médias.
“Le virus est dangereux. Seul le vaccin va mettre fin à cette pandémie.“
“En te faisant vacciner, tu te protèges et tu protèges les autres.”
Un vaccin, un hot dog
“Get vaccinated” est le seul message, le noyau central du narratif, qui est véhiculé dans les médias traditionnels et par nos gouvernements.
“Fais-le pour toi, fais-le pour ta famille, pour tes enfants, pour grand-maman et grand-papa.”
Les cadeaux et loteries deviennent populaires pour les gens qui se font vacciner.
Dans les médias alternatifs, le message est un peu différent. Des études de traitements alternatifs efficaces commencent à faire surface, mais on n’en parle pas dans les médias de masse. On peut aussi entendre des témoignages de gens qui ont eu des effets secondaires dus à la vaccination, mais encore une fois, les médias traditionnels restent muets face à ces nouvelles.
Aucun médecin, professionnel de la santé, employé de l’état, journaliste ne peut/veut en parler, car le seul message qui tient l’état d’urgence en place, c’est le message de la vaccination de masse. C’est LA seule solution possible.
Coton-tige
C’est un beau week-end de juillet 2021, nous allons à une fête d’enfant. Le jour d’ensuite, un autre party de fête à la maison avec famille et amis.
Ça a été le week-end le plus occupé de l’année. Ma fille ne se sent pas en forme, on ne s’en fait pas trop, mais rendu au dimanche, on décide d’aller dans une clinique lui faire passer un test covid. Le résultat revient positif. On appelle tous les gens que nous avons côtoyés durant le week-end pour leur annoncer qu’ils ont été en contact avec une personne infectée. Un employé arrogant de santé publique nous appelle tous les jours pour s’assurer que l’on suit ses consignes et recommandations.
Une semaine pas évidente, pas dû au virus que ma fille gère très bien, mais d’être isolé à la maison, ma fille qui passe plus d’une semaine seule dans sa chambre, la gestion de la crise avec les proches et les parents d’amis que nous avons croisés ce week-end là.
Le virus lui? Ça a été la partie la plus facile à gérer de la semaine. Un genre de rhume qui me confirme que la vaccination pourrait être réservée aux gens malades et aux hypocondriaques. Heureusement, malgré tous les gens que nous avons croisés ce week-end là, seule ma fille a été infectée.
Dénigré
De plus en plus, la vaccination devient un mouvement social:
- “Quel vaccin as-tu reçu? »
- Partage de photos sur les réseaux sociaux
- Défense de la “science” et du narratif principal
À l’international, d’autres pays plus avancés que nous sur la vaccination continuent d’avoir les mêmes problèmes que nous, mais personne ne semble se poser de questions. Si plus de 75% de la population d’un certain pays est vaccinée, comment se fait-il qu’il y a toujours de nouvelles vagues du virus?
Les médias traditionnels n’ont encore qu’un seul message: “Get vaccinated, get boosted”.
On ne parle pas des effets secondaires, on ne parle pas des décès, on ne parle pas de traitements alternatifs possibles: un message seulement, une seule solution possible.
En fait, si quelqu’un ose parler d’une solution différente que les vaccins et ses bénéfices, il est automatiquement censuré par nos big tech préférés (Facebook, Instagram, Youtube, Twitter, etc.). Au cours de quelques semaines, des milliers de comptes sont suspendus pour avoir tenté d’ouvrir le débat. Une plateforme comme Youtube change même sa politique d’utilisation pour se donner le droit de bannir les utilisateurs qui mentionnent le nom de certains médicaments alternatifs.
À ce point-ci de la pandémie, si un journaliste, un médecin ou un scientifique ose questionner l’efficacité des vaccins, ou les potentiels problèmes reliés à ces derniers, il est automatiquement censuré et risque de perdre son emploi.
Censure et désinformation
Plus le temps avance, plus il est évident que personne n’a le contrôle sur la pandémie.
Essayer d’arrêter ce virus est comme essayer d’arrêter le vent.
Maintenant que la majorité est vaccinée, on nous parle du booster comme LA solution à la pandémie. Les gouvernements ne savent plus quoi dire, quoi faire, donc on ferme l’économie et on enferme les gens.
Entre-temps, une nouvelle stratégie médiatique commence à prendre forme. Les non-vaccinés sont maintenant devenus la source des problèmes de la pandémie.
À partir de maintenant, on te donne des privilèges si tu es vacciné. Les gouvernements développent des applications pour contrôler qui a le droit de rentrer dans un commerce.
Ostracisé
Pendant qu’au Québec on nous dit: “la population souffre, et ce, en bonne partie à cause des non-vaccinés.”, ailleurs dans le monde, on parle déjà d’une quatrième dose du vaccin. Certains pays ont même des camps de quarantaine covid clôturés où on conduit les “malades” pour les forcer à s’isoler. Des prisons de “malades”, faut le faire!
Pourtant, en Inde et dans différents pays africains, on traite la covid avec des médicaments anti-inflammatoires bien connus, et ça semble bien fonctionner pour eux. Le genre de nouvelles qui ne se retrouvent pas à la télé. Même dans notre coin, on peut aussi entendre de plus en plus de témoignages de gens qui utilisent des traitements alternatifs pour se débarrasser de la covid en quelques jours seulement.
C’est même rendu évident, des recherches d’experts courageux démontrent que ces traitements sont efficaces, mais dès que le message s’amplifie, les gouvernements, les médias et big tech s’attaquent à ceux qui osent parler.
Censures, comptes fermés. Le “cancel culture” prend de plus en plus de place.
Toute personne qui rejette le narratif principal est accusée de désinformer. Aucune place à la discussion ni au débat.
Des manifestations géantes sont organisées dans plusieurs métropoles à travers le monde, mais aucune n’est diffusée dans nos médias traditionnels. La grogne se fait sentir.
Variants et contagion
Après le virus, les vaccins, les vagues et les boosters, le nouvel angle de terreur des médias devient “les variants”.
“De nouveaux variants du virus covid-19, plus contagieux que jamais envahissent le Canada!” Les vagues de peur reviennent.
Il est évident que les gouvernements ne savent plus quoi faire. Une grande partie de nos fonds publics sont alloués au dépistage covid, à la publicité des vaccins, à la gestion de l’application du passeport vaccinal, aux employés de santé publique et pourtant, le nombre de cas continue de monter.
Il est indéniable que d’être vacciné et boosté n’empêche personne d’attraper le virus ni de le propager.
Un gouvernement ne doit jamais perdre la face. Il ne doit jamais perdre la confiance de ses citoyens. Masques, confinements, restrictions, vaccins, couvre-feux, peu importe ce qu’on fait, les vagues partent et reviennent malgré tous les efforts.
Quand tout a échoué, on fait quoi? On blâme qui?
Les non-vaccinés!
Il nous faut un coupable, une justification.
Les non-vaccinés sont maintenant la source du problème.
Les fêtes approchent et pour faire pression sur les non-vaccinés, nos brillants médias tentent d’éduquer les auditeurs sur des sujets comme: “Comment annoncer à un proche non vacciné qu’il ne peut pas venir fêter Noël?”.
Je ne peux pas en croire mes yeux. Certaines personnes sont devenues complètement détraquées. Des astuces pour rejeter un non-vacciné du groupe sont devenues un sujet de conversation « mainstream », comme si c’était un sujet de discussion normal. As-tu déjà refusé des invités parce qu’ils n’étaient pas vaccinés contre la grippe?
À ce point-ci, j’ai complètement décroché et j’en conclus que certains sont devenus un peu fous. On a perdu tout contact avec la réalité. Une espèce de psychose collective où il n’y a plus personne qui semble utiliser sa cervelle pour réfléchir.
J’ai l’impression de faire partie d’une société qui a perdu tous ses repères.
Tout le monde sait que les médias de masse survivent grâce aux faiblesses psychologiques de l’être humain, mais c’est comme si tout le monde l’avait oublié. C’est grâce à la culture de la peur et la transmission d’informations angoissantes qu’on peut retenir l’attention des gens, voire les contrôler. Plus grand est l’auditoire, plus grands seront les profits.
Je me tais. Je n’en parle plus à personne, car à ce point-ci, l’opinion sur la vaccination est une religion. Selon certains, les non-vaccinés seraient des malades mentaux. Des disciples de Satan maléfiques où les participants sont dépourvus de cervelle et dangereux pour l’humanité.
Un nouveau culte a pris forme et rien ne peut l’arrêter de s’attaquer aux non-vaccinés.
En fait, le terme “non-vaccinés” n’existe plus. On les appelle maintenant les antivax, les complotistes, les conspirationnistes, les racistes radicaux de la droite, les coucous, les assassins, etc.
On ne sait plus quoi ni qui blâmer pour notre système de santé malade.
La chasse aux sorcières
La frustration continue de monter et se transforme en haine contre les non-vaccinés, des gens misogynes et racistes (mots exacts de notre premier ministre Justin Trudeau en passant). C’est à cause d’eux que la pandémie ne s’est toujours pas résolue.
Le passeport vaccinal est appliqué pratiquement partout. Les méchants antivax ne peuvent plus fréquenter les restaurants, les salles de spectacles, les cinémas, la SAQ, la SQDC, les commerces de plus de 1500 m2, les centres récréatifs, les centres d’amusement, les lieux de culte, les conférences, les cérémonies, les croisières, les événements et festivals extérieurs, les voyages à l’extérieur du pays, les centres de skis, etc.
Dans certaines provinces canadiennes, le gouvernement donne même le pouvoir aux épiciers d’imposer le passeport vaccinal.
Affamons ces criminels! Brûlons les sorcières! …comme au moyen âge, où on brûlait, torturait et tuait les femmes qui ne se conformaient pas.
Même mes enfants se font traiter d’antivax. Comme si tout ça n’était pas assez, notre gouvernement menace d’une nouvelle taxe “santé”. Non-vacciné? Alors surtaxe pour toi au moment des impôts, mais ça… ça n’a pas passé au conseil.
À l’émission “La semaine des 4 Julie”, on propage la haine contre les coucous:
- Julie Snyder demande: “…que faire avec les gens qui ne veulent pas se faire vacciner?”
- Garçon: “On devrait appeler la police.”
- Fille: “S’ils n’ont pas leur vaccin, ça peut mettre beaucoup de personnes en danger, donc comme le gouvernement est en train de faire en ce moment, il faut leur couper de petites choses jusqu’à ce qu’ils se tannent et se fassent vacciner.”
Ma dignité écorchée
Je commence à trouver tout ça très lourd. Je ne sais plus trop à qui je peux en parler et à qui je peux faire confiance. On se moque de moi, on me ridiculise, alors je m’isole de plus en plus. Je m’autocensure, j’évite les discussions sur le sujet.
À l’automne 2021, mon employeur annonce une nouvelle politique: vaccination obligatoire pour tous les employés.
On ne te vaccinera jamais de force. C’est toi qui choisis: ou bien tu te fais vacciner, ou bien, « you’re out »! On te place en congé sans solde forcé dès décembre, sans avoir le droit à l’assurance-emploi.
Certains amis et collègues sont bien heureux d’accueillir cette nouvelle politique. Certains en parlent ouvertement pendant nos réunions. Je ne dis rien, j’évite le sujet.
Ce qui est illogique, c’est que la nouvelle politique s’applique même aux employés en télétravail. Je suis en télétravail depuis deux ans déjà. Depuis deux ans, je n’ai vu aucun de mes collègues en personne. J’ai beaucoup de mal à croire en la science de cette nouvelle politique qui semble être un congédiement déguisé. Comment je peux être un danger pour la santé de mes collègues si on ne se voit jamais?
Le 13 décembre 2021, mon chef d’équipe, suivant les ordres de son commandant, coupe mon accès.
21 ans de carrière, employé respectueux et respecté, 21 ans de loyaux services et de bons rendements, un des “lead” technique de ma section, le 13 décembre 2021, ma dignité est écorchée. Une des pires périodes de ma vie. On m’enlève mon droit de travailler chez le plus important employeur de ma région, car j’ai décidé de prendre en charge ma santé. Je n’ai pas envie d’être cobaye pour tester leur nouvelle thérapie expérimentale.
Si j’avais voulu vivre dans le mensonge, j’aurais accepté la coercition et je me serais fait injecter. Néanmoins, je décide de vivre ma vérité et au final… on me disqualifie.
Les derniers mots de mon gestionnaire sont: “I’m sorry to see you go Chris, my hands are tied”.
Abandonné comme une guenille sale.
Je reste silencieux quelques mois pendant que la vie semi-normale continue d’avancer pour les autres. Je me sens rabaissé, humilié et rejeté. Même avec quatre enfants en bonne santé et une blonde extra qui me fait confiance, je me sens seul et assez bas par moment. Toutefois, mon intuition me dit que j’ai pris la bonne décision, et au final, c’est ce qui compte pour moi.
Noël 2021 arrive, je n’ai plus d’emploi, pas d’assurance-emploi et pas une cenne qui rentre. Joyeux Noël!
Mot de la fin
Les gens qui ont tenté de faire du sens avec ce qui se passait, qui ont fait des choix différents, pour gérer leurs propres émotions, se sont fait attaquer. Ça crée beaucoup de souffrances, du rejet, de la violence psychologique, de l’autocensure, des ruptures d’emploi, des appels à la guerre dans les médias, des familles éclatées. Dans des situations comme ça, tu ne peux plus être toi-même, tu t’isoles. En tout cas, c’était mon cas. Tu as l’impression que tout risque de s’écrouler si tu montres qui tu es. Donc tu évites les conflits si tu ne veux pas perdre ce qui te reste.
Je me rends compte que les québécois sont dociles et obéissants, mais quand les médias traditionnels sont chargés du narratif, les gens suivent et ne peuvent pas supporter d’entendre quelque chose de différent de ce que les « autres », la gang, disent.
Tout récemment, une représentante d’une grande entreprise pharmaceutique admet que l’efficacité du vaccin pour stopper la transmission n’avait pas été testée avant sa commercialisation. C’est comme si en cours de route, les gouvernements ou les médias ont simplement décidé de raconter que les vaccinés ne pouvaient pas transmettre le virus s’ils étaient infectés. Mensonge ou pas, si on en parle à la télé, ça doit être parce que c’est vrai.
La peur en a transformé beaucoup en fonctionnaires dociles, un camp de conformistes qui suivent sans se poser des questions.
De mon côté, c’est dans ma nature de questionner et chercher à comprendre. J’aurais pu faire ce qu’on me demandait de faire, mais j’ai choisi d’être vrai avec moi-même.
Je préfère un monde où on reste ouvert à la pensée critique et au débat. Un monde où on nous laisse penser par nous même, un gouvernement plus maigre qui n’infantilise pas ses citoyens. Un monde sans censure et sans coercition. Un monde anti-autoritariste. Un monde… plus respectueux.
Merci de ta lecture. D’accord ou non, laisse un commentaire (au bas de la page). Ne te gêne pas de m’écrire, ça me ferait plaisir de discuter avec toi.
Chris
Mise à jour le 28 juin 2023: grammaire et orthographe.
Justin Trudeau, premier ministre « On en connaît tous, des gens qui sont en train d’hésiter, on va continuer d’essayer de les convaincre. Mais il y a aussi des gens qui sont farouchement opposés à la vaccination, qui ne croient pas en la science, qui sont souvent misogynes, souvent racistes. C’est un petit groupe mais qui prend de la place. Et là, il faut faire un choix, en tant que leader, en tant que pays : est-ce qu’on tolère ces gens-là ? »
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